Let's celebrate ! Journée internationale du bonheur
http://www.un.org/fr/events/happinessday/
L’ONU déclare la journée du 20 mars « Journée internationale du Bonheur » .
Le but de cette journée : faire prendre conscience aux gouvernements qu’il «faut envisager d’adopter la croissance économique dans une optique plus large, plus équitable et plus équilibrée, qui favorise le développement durable, l’élimination de la pauvreté, ainsi que le bonheur et le bien-être de tous les peuples». L’Organisation reconnait que le bonheur et le bien-être sont non seulement des aspirations universelles mais qu’ils devraient être pris en compte dans les objectifs politiques. L’ONU invite les États Membres, les organisations internationales et régionales, ainsi que la société civile et le grand public à célébrer la Journée internationale du bonheur en organisant des activités éducatives et des campagnes de sensibilisation.
Le bonheur: un bien à créer,partager et préserver.
ETSY - Bracelet reçu !
https://www.etsy.com/uk/shop/HealingAuras?ref=l2-shopheader-name
This lovely bracelet was made with amazonite, blue crystals, moonstones, silver spiral spacer beads. In the center is a beautiful Tibetan silver goddess charm. Each bead was beaded onto durable elastic then sealed by a knot to secure it for long wear.
Amazonite is said to enhance psychic powers, creativity, and psychic ability.
Je participe ! Lire sous la contrainte - Session No. 13
La date limite pour ce nouveau challenge organisé par Philipe est en fait demain. Je pensais pouvoir lire :
"Le collier de la colombe" de E.W. Heine et un livre de François Lelord
Mais je n'ai lu que :
Ce qui est écrit au dos du livre :
Haute Provence, 1890. Anna, jeune amandière, se croyait promise à Martin, héritier d’un riche producteur de fruits confits. Mais, sans explication, celui-ci épouse une fille de notables. Seule sa passion pour les amandiers donne désormais un sens à la vie d’Anna.
Lorsqu’elle rencontre Armand, pâtissier amoureux des traditions provençales, la jeune femme réalise son rêve en créant le meilleur des nougats. Bientôt leur mariage et leur confiserie prospèrent. Et alors que l'ombre de la Grande Guerre se profile, une lettre de Martin vient bouleverser l'heureux équilibre d'Anna…
Mon avis :
Ce livre m'a beaucoup plu. L'histoire commence en 1890 pour se terminer en 1945. On y suit la descendance de Martin Bonnafé et d'Anna Jouve sur deux générations. Pour des raisons de convenance familiale Martin n'épouse pas Anna. Ils vivront la première partie de leur vie d'adultes éloignés loin de l'autre physiquement seulement car leur amour va s'avérer plus fort que tout. Il y aura d'abord leur mariage respectif, la naissance de leurs enfants, les aléas de la vie et une première guerre mondiale avant qu'ils puissent enfin se retrouver. Puis il y aura la deuxième grande guerre, terrible sous tous ses aspects. Anna et Martin n'y survivront malheureusement pas malgré leur audace et leur courage mais Philippine (la petite fille d'Anna) et Olivier (le fils de Martin) se retrouveront pour perdurer la tradition familiale.
J'ai aimé :
P. 53 ... "Dans mon village, j'ai connu un jeune qui avait basculé", avait-elle confié à son beau-frère. Basculé, un mot pudique pour ne pas dire la folie. Aimé avait secoué la tête. "Ma fille est solide." Lui-même avait eu la tentation d'en finir, à la mort d'Allegra. C'était facile ... Un coup de fusil, et tout était terminé ... Il avait estimé que c'était presque trop simple, et pensé qu'Allegra ne lui pardonnerait pas d'abandonnerla petite. Alors, il s'était battu, pour ne pas sombrer.
P. 218-219 ... Que dois-je faire, à ton avis, Brune ? Faut-il chercher à le revoir ? Un an auparavant, elle avait résumé à sa tante la teneur de la lettre de Martin? Brune aait esquissé un sourire teinté de nostalgie. "Ta mère et toi suscitez les passions", vait-elle déclaré d'une voix indéfinissable. Anna lui avait serré la main. Très fort. "Je ne sais pas si nous avons été heureuses pour autant". Elle était consciente, bien sûr, que sa vie autait été radicalement différente si elle avait épousé Martin. Mais il ne servait à rien d'y penser. Mathilde et Armand ne méritaient pas d'être trahis, et Anna ne supportait pas cette idée. "Mon père disait souvent qu'il suffit de suivre le sillon qu'on a tracé", avait repris Brune. Anna s'était blottie contre elle.
P. 231 ... "Ne fais pas cette mine de carême, Olivier. La vie est belle... si tu en es convaincu !".